SENS INIQUE, l'espion préfère les blonds

Vous aimez les voyages ? Attachez vos ceintures !                                                                            

Vous allez bourlinguer de New York à Bangkok, d’Israël à Cuba, vous traverserez le Sahara en char à voile et vous poserez au Grand Nord en Concorde…

Et ça va doublement vite, Charles de Beauregard, le héros, jongle entre deux métiers parallèles : réalisateur d’événements, agent secret…                                                                                                     

Couverture astucieuse et idéale : en même temps qu’il prépare et organise ici et là ses opérations événementielles, ce qui constitue en soi un vrai roman d’aventures, il infiltre et se renseigne au service de la République…un vrai roman d’espionnage aux quatre coins de la planète.

Mais l’espion est aussi un homme…qui aime les hommes, nombreux à passer dans son lit.
Barbouze au grand cœur et bourreau des cœurs… c’est pas pareil !

D’un côté, beauté, calme et sérénité.
De l’autre, danger, risques et trahisons.
Et au milieu…amours iniques, pauvre pêcheur !          

Avec, en fil rouge, la « participation amicale »  d’Elizabeth Taylor…

LE ROMAN :

Ami d’Elizabeth Taylor et de Montgomery Clift, aventurier dans le monde et les mots, Michel Daviaud Beauchamp, alias Charles de Beauregard, entraîne son lecteur dans les coulisses du grand monde, de ses secrets, de l’action pour l’état qu’il a exercée durant tant d’années.

Ce roman veut être aussi un hommage aux personnes LGBT, en espérant qu’il puisse contribuer à une société plus juste et respectueuse des droits de chacun.

Dans ces lignes élégantes, efficaces, parfois malicieuses, toujours étonnantes, on croise les grands noms du spectacle et de la politique ainsi que des amours… particulières !

Michel Daviaud Beauchamp :
grand voyageur professionnel, aventurier mystérieux,
a consacré la première partie de sa vie à concevoir et réaliser des événements dans le monde entier.                                                                                                     
Et s’embarquer aussi pour des missions plus sensibles…voire secrètes.

Il est aussi un aventurier des mots et de l’écriture, aimant partager ses récits et ses aventures avec ses lecteurs-spectateurs.

Voyages pour le plaisir, engagement humanitaire, pilotage d’avions de tourisme et autres activités rock’n’roll embellissent désormais son existence.

Prologue :

Ce roman veut être un hommage aux personnes LGBT, en espérant qu’il puisse contribuer à une société plus juste et respectueuse des droits de chacun.

De tout temps, l’homosexualité et la bisexualité ont existé, plus ou moins bien admises selon les époques.

L’époque gréco-romaine fut, incontestablement, la plus conciliante. Il n’existait pas de condamnation  morale de l’homosexualité dans la Grèce antique, où l’on avait l’habitude de croiser un adulte aux côtés d’un jeune Apollon qu’il éduquait sexuellement, ni à Rome, où les relations entre adultes étaient assez courantes, en particulier dans les classes supérieures.

Au fil du temps, avec l’influence croissante du christianisme, les attitudes envers l’homosexualité sont devenues de plus en plus négatives. C’est en effet la montée du christianisme, et sa condamnation biblique, qui a fait évoluer la législation au cours de l’empire romain, jusqu’à la promulgation de lois réprimant l’homosexualité.

Celle-ci « est un péché, faites vœu de chasteté et souffrez en silence… iniquité, sens inique, Dieu vous punira », ont décrété depuis des siècles les vieillards à robes en dentelles du Vatican ! Même si le pape François a tenté la démonisation de l’homosexualité, en autorisant la bénédiction des couples homosexuels, tout en restant opposé au mariage, et en affirmant « je dirais à ceux qui veulent criminaliser l’homosexualité qu’ils ont tort. »

Depuis, les religions à travers le monde n’ont cessé de fustiger l’homosexualité, de mettre au ban les homosexuels, ne faisant qu’attiser les discriminations envers eux, le rejet et la stigmatisation. Sauf  le protestantisme et particulièrement le bouddhisme, religion et philosophie plus tolérantes, respectueuses d’autrui, mettant l’accent sur la compassion et l’acceptation de tous les êtres, indépendamment de leur orientation sexuelle.

Ce roman est volontairement audacieux.
Il transgresse les codes culturels et sociétaux,  pour mettre en avant différents types de marginalité, toute relative, tant sexuelle qu’affective. Il n’a pas pour but de heurter ou choquer le public.

 Il raconte simplement la double vie d’un personnage qui exerce deux métiers à la fois, difficiles et parfois dangereux, sans mettre de côté sa vie personnelle et ses expériences intimes.

Ode à la tolérance, à la liberté humaine, au respect de la communauté LGBT et de toutes les diversités, ce roman est un appel à la générosité et à l’altruisme.