Du signe au symbole : Les portes de l'ineffable !
La revue internationale de Sagesse et philosophie hermétiques : LIBER MIRABILIS 129 consacrée aux signes et symboles.
AU SOMMAIRE :
- Le serpent vert
-Les contours clairs/obscurs de la personnalité de l'auteur du conte
-L'histoire proprement dite de ce conte symbolique
-OEuvres individuelle et collective
-Le pèlerin du coeur au monde des Merveilles
-L'air du Verseau
-Signe d'air
- Caractères
- Histoire
- Mythologie
- Tarot
- Alchimie
-Michel Hindenoch et les contes indiens
- La septieme porte : Le graal dans les couloirs des diablintes
- Ces portes sont les suivantes
L'ERE DU TEMPS :
En ce début d’année, notre 129ème numéro, toujours dans la poursuite de notre exploration des « clés » initiatiques pour l’être, s’interroge sur les signes en chemin et sur la pertinence du symbole.
Le symbolisme, langue muette, s’adresse à ce que les Egyptiens qualifiaient “d’intelligence du coeur”. Comme autant de portes ouvrant sur l’ineffable, ces balises de l’invisible invitent le pèlerin à l’introspection, à la découverte du moi véritable. Le célèbre : “Connais-toi, toi-même, et tu connaîtras le secret des Dieux et de l’Univers”…
Le serpent vert de Goethe, comme mise en évidence du message en filigrane dans le conte.
L’histoire du voyage, comme apprentissage[1], sous l’égide d’Henri Bergson dans L’évolution créatrice : « La route que nous parcourons est jonchée de tout ce que nous commençons d'être, de tout ce que nous aurions pu devenir. »
L’interrogation sur l’ère du Verseau, comme « air du temps », autre vision de l’époque qui s’annonce.
Les contes indiens, autre démarche symbolique, divergente sur la forme avec Goethe, mais convergente dans sa finalité.
Enfin, une application « pratique » sur le terrain rappelle qu’une géographie sacrée existe, avec ses passages, pour atteindre le Graal !
Autant de sujets, dans ce LIBER MIRABILIS, qui blasonnent bien des démarches inscrites dans la quête éternelle.
Belle lecture !
Meilleure année 2022 possible
[1] Apprenti sage.